Anxiété silencieuse, fatigue profonde : ce que ton corps énergétique essaie de te dire
- Priscilla
- 19 mai
- 3 min de lecture
Dernière mise à jour : 21 mai

En faisant des recherches sur l'anxiété, j'ai été choqué de découvrir que selon l’Organisation mondiale de la Santé, plus de 300 millions de personnes vivent avec un trouble anxieux, à travers le monde. (source officielle de l’OMS).
Et pourtant… seule 1 personne sur 4 reçoit un traitement adapté.
Elle est même plus fréquente que la dépression dans certaines tranches d’âge ,notamment chez les jeunes adultes et les femmes.
Absolument pas surprise par les chiffres sur ces catégories. Même si je suppose qu'il n'y a pas assez de données réelles sur les hommes.
Malgré sa fréquence, l’anxiété est souvent minimisée ou mal comprise.
Elle est perçue comme un “excès d’émotion” alors qu’elle est le symptôme d’un déséquilibre physiologique et énergétique profond.
Elle reflète surtout une rupture entre l’humain, son corps, son rythme, et ses besoins profonds.
Mais au-delà des chiffres, ce que je vois au quotidien, c’est ce qui ne se dit pas.
Je l’entends dans les silences.
Je le sens dans les corps.
Je le lis dans les regards qui cherchent un peu d’espace pour respirer.
Je le vois à travers les tests énergétiques.
Ce que me disent les personnes que j’accompagne
“Je n’arrive plus à me poser, même dans le calme.”
“Je suis tout le temps en alerte, sans raison.”
“Je suis fatiguée de moi-même… fatiguée d’avoir peur, de trop ressentir, de ne pas comprendre ce qui m’arrive.”
Et je vois des corps qui n’en peuvent plus de contenir.
Pas de crise spectaculaire.
Pas toujours de diagnostic.
Mais une tension de fond, dans les épaules, la nuque,
Une oppression. Un souffle court.
Un système nerveux qui n’a jamais le droit de se détendre vraiment.
L’anxiété, ce n’est pas “trop d’émotion”.
C’est un barrage énergétique prêt à céder.
Imaginez un barrage construit sur un fleuve. Il a été utile. Il a retenu. Protégé. Filtré.
Mais à force de tout contenir, la pression intérieure devient insoutenable.
Et un jour, ça craque.
Le corps énergétique, lui aussi, a ses fissures. Elles ne se voient pas. Mais elles parlent.
Elles parlent à travers les insomnies.
À travers les douleurs diffuses.
À travers les pensées qui tournent en boucle.
Ou à travers ce besoin de tout contrôler pour éviter de tomber.
Ce que j’ai appris au fil des accompagnements
L’anxiété n’est pas juste un problème “mental”.
C’est un déséquilibre énergétique profond.
Un champ électromagnétique qui se rétracte.
Un manque d'ancrage.
Des méridiens qui saturent.
Des systèmes énergétiques qui ne circulent plus naturellement,
Des glandes qui s’épuisent.
Un nerf vague qui crie à l’aide.
Et surtout, une absence d’espace pour se déposer vraiment.
Ce que je propose, ce n’est pas une méthode. C’est un chemin.
J’ai vu des femmes pleurer au contact d'une main sur leur ventre.
J'ai entendu des cris sortir à l'équilibrage du centre énergétique de la gorge.
J’ai vu des épaules s’abaisser, des mâchoires se relâcher, des respirations redevenir abdominales.
Pas grâce à des “solutions miracles”. Mais grâce à un retour au corps.
Grâce à la reconnaissance d’une réalité énergétique oubliée.
Ce que l’anxiété m’a appris à travers elles et à travers moi.
Que parfois, il ne faut pas “faire plus”. Mais se contenir moins.
Que l’anxiété, quand on l’écoute, nous apprend comment nous remettre en circulation.
Pas pour redevenir "performant.e.s", mais pour redevenir vivant.e.s.
Et que ce retour-là… est peut-être le plus grand des actes d’amour.
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